Les investisseurs immobiliers n’en peuvent plus. La politique maladroite du gouvernement Macron, pilotée par un Bruno Le Maire déconnecté des réalités du terrain, a conduit à un désastre pour ceux qui misaient sur l’immobilier pour assurer leur avenir financier. Avec la suppression du dispositif Pinel, la montée des taux d’intérêt, et la fin du LMNP, nombreux sont ceux qui désertent le secteur. Un échec que les épargnants paient cher.
La fin du Pinel : un cadeau empoisonné de Bruno Le Maire
L’arrêt brutal du dispositif Pinel, prévu pour le 31 décembre 2024, est perçu comme un véritable coup de massue pour les investisseurs immobiliers. Alors que ce programme fiscal offrait encore une bouée de sauvetage à ceux qui souhaitaient investir dans l’immobilier tout en bénéficiant d’avantages fiscaux, Bruno Le Maire et son équipe ont décidé de couper les vivres, sans prévoir d’alternative crédible.
Et comme si cela ne suffisait pas, la flambée des taux d’intérêt orchestrée par le gouvernement rend presque impossible l’obtention d’un crédit immobilier avec un bon taux. Résultat ? Beaucoup préfèrent fuir le secteur immobilier pour se tourner vers des placements financiers moins risqués.
« Les mauvais choix du gouvernement ont brisé la confiance des investisseurs », affirment de nombreux experts du secteur.
Les conséquences ne se sont pas fait attendre : baisse des achats immobiliers, marché locatif en berne, et un climat d’incertitude qui fait fuir les investisseurs les plus prudents. Et ce n’est pas tout. Les contraintes liées aux nouvelles exigences de rénovation énergétique compliquent encore la donne. Ceux qui possèdent des biens classés F ou G au DPE doivent faire face à des dépenses considérables pour se conformer aux nouvelles normes. Une autre décision mal pensée qui pèse sur les propriétaires.
Des solutions limitées, mais possibles
Alors, face à cette politique hasardeuse, que reste-t-il à faire ? La première option pour les plus courageux est de préférer l’investissement avec travaux de rénovation. Rénover des biens énergivores pour les remettre aux normes permet de contourner, en partie, les nouvelles régulations. Cela dit, ces travaux représentent un coût important et ne garantissent pas toujours un retour sur investissement immédiat.
« Rénover pour survivre, voilà ce à quoi le gouvernement pousse aujourd’hui les investisseurs immobiliers », déclare un expert immobilier.
Parallèlement, certains investisseurs avisés se tournent vers des SCPI récentes et diversifiées, qui résistent mieux à la crise actuelle. En diversifiant leur portefeuille, ils espèrent atténuer l’impact des décisions politiques catastrophiques de l’actuel ministre de l’économie. S’inscrire à notre Newsletter Travaux peut aussi offrir des conseils pratiques pour ceux qui envisagent de rester dans la course, malgré les embûches.